La team GALAG dans le top 10 à l’issue de cette première semaine du Dakar !
Première semaine et premier Dakar pour la Team GALAG qui se place en 7ème position au classement général ! Ce dimanche 9 janvier, au terme de la 5ème étape du Dakar de 700 km, dont 401 km d’épreuve spéciale entre Riyad et Al Dawadimi, l’équipe N°421 a encore gagné un rang dans la catégorie SSV !
L’équipe de tous les défis !
Sur la piste, la team GALAG a rencontré quelques difficultés, notamment sur le choix des pneumatiques et sur le réglage des suspensions dans les spéciales. Cependant Jérôme de Sadeleer et son coéquipier Mika Metge ont su faire face aux plus grosses difficultés tout en restant très réguliers.
Une nouvelle expérience très stimulante pour Jérôme
” Le Dakar jusqu’ici est vraiment une expérience de fou ! C’est incroyable comme feeling, du pilotage mais aussi de la navigation, il faut travailler étroitement avec son équipier et savoir juger le risque et quand le prendre. On doit changer de rythme en lisant bien la piste pour prendre moins de risque et conserver les pneus. C’est vraiment un très très grand plaisir, en plus on ne s’attendait vraiment pas à être 7e au général aujourd’hui, je n’arrive toujours pas à le croire ! L’objectif reste le TOP 10, mais nous ne sommes qu’à la mi- course.”
Jérôme de Sadeleer
Le Dakar : une épreuve
“C’est une expérience exceptionnelle, au-delà de toutes nos attentes. Sur le plan physique, c’est un peu moins exigeant que ce que je redoutais, certainement en raison des températures – entre 22 et 23 degrés – qui n’ont rien à voir avec ce que nous avions notamment connu au Maroc (42 degrés lors de l’étape la plus chaude). Notre buggy a aussi été réglé en mode plus confortable, ce qui renforce cette sensation. Mais attention, cela ne veut pas dire pour autant que le Dakar est une épreuve facile; le pilotage n’a rien à voir avec ce que je connais habituellement en circuit, où il faut être chaque tour le plus rapide. Ici, il faut savoir «lire» le terrain, qui change constamment avec du sable, des pierres, des oueds, des ornières. Il faut en permanence changer de rythme, savoir où l’on peut prendre des risques et où il faut les limiter. C’est cette recette qui paie pour une bonne place au classement général.”
Jérôme de Sadeleer
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